Introduction au Gang Stalking (harcèlement en réseau et électromagnétique)

Ce dossier est destiné à alerter sur un phénomène qui a cours secrètement depuis plusieurs décennies mais qui a atteint sont paroxysme grâce aux derniers progrès technologiques.

C’est un programme de persécution de la population qui a pris une tournure globale depuis le 11 septembre et la survenue de la pandémie covid car les voix contestataires aux narratifs officiels ont pratiquement décuplé.

Beaucoup de victimes en sont mortes ou se sont suicidées tant leurs calvaires étaient insupportables. Depuis environ 15 ans des lanceurs d’alerte et victimes dénoncent ce phénomène mais une omerta solide règne sur ce sujet pour tenter sa décrédibilisation. En tant que victime qui a étudié ce phénomène pendant près de quatre ans grâce à des sources solides et l’avoir vécu dans sa chaire, je vous livre les information nécessaires pour sa compréhension et si possible les communiquer au plus grand nombre pour protéger les victimes actuelles et potentielles.

Ce programme, appelé communément « Gang Stalking » en anglais possède essentiellement deux volets : le premier, appelé « harcèlement criminel en réseau » peut être défini comme un harcèlement d’état et criminel, il consiste en une série de délits provoqués par des civils collaborant avec les services de renseignement ou des réseaux de crimes organisés. Ceux-ci peuvent sembler banals pour un observateur externe mais qui, accumulés, provoquent une souffrance psychologique intense. À cela s’ajoute fréquemment un harcèlement de la part d’organes de l’état (police, administration…), ce volet a cours depuis au moins les années 80 dans les états de l’OTAN mais également dans le bloc soviétique. Le second volet est réalisé à l’aide de technologies électromagnétiques dissimulées dans les infrastructures de communication mais également à disposition de civils criminels, il a essentiellement lieu depuis au moins trois décennies et peut être appelé « harcèlement ou torture électromagnétique » . Certaines victimes souffrent d’un seul volet uniquement mais la situation peut évoluer au cours du harcèlement et devenir total.

De nombreux dénonciateurs dont la défunte médecin-chef de Finlande Rauni Kilde suggèrent que ce programme est dans la continuité du Gladio européen, du Zersetzung de l’Allemagne de l’Est et du Cointelpro américain qui étaient tous trois destinés à lutter contre la dissidence sous couvert de lutte contre une invasion soviétique pour Gladio et le terrorisme pour Cointelpro. Ils ont été divulgué tardivement et bien que les officiels respectifs prétendent que ces programmes soient clôturés, le témoignage de nombreuses victimes de par le monde ainsi que les morts suspectes de lanceurs d’alerte prouvent qu’ils sont toujours opérationnels.

Les victimes se regroupent sous l’appellation « individus ciblés ».

Les victimes de ce harcèlement d’état peuvent être des dissidents ou des internautes insoumis, d’où une certaine forme de répression mais dans les faits, la plupart des victimes sont parfaitement innocentes et n’ont jamais eu de quelconque activité politique ou subversive. Le harcèlement démarre souvent donc sans aucune raison apparente bien que des fois une dénonciation, un conflit de voisinage ou un procès judiciaire peut en être à l’origine. Des scientifiques lanceurs d’alerte comme le médecin américain John Hall affirment que cela peut se faire dans le cadre d’expérimentations.

On observe fréquemment chez les victimes un profil intellectuel, sensible, honnête, original, libre penseur et intègre. Ils peuvent parfois disposer de talents rares.

Le harcèlement criminel en réseau est la forme de harcèlement la plus ancienne car ne nécessitait pas de technologies avancées. Comme énoncé précédemment, le programme Gladio de l’OTAN était fort probablement le précurseur pour mettre en place la persécution de civils. En 2000, des parlementaires italiens ont accusé ces réseaux de « stratégie de la tension » et d’assassinats politiques, le même mode opératoire peut expliquer les morts prématurées de Coluche et de Daniel Balavoine en France. Bien entendu, cela ne pourrait être réalisé sans une surveillance étroite et la participation plus ou moins active des services de renseignement et de la police.

Même si en 1990, le parlement de l’Union Européenne, dans une résolution, a condamné la création de réseaux clandestins d’influence et d’action sur son territoire et appelé les états à les démanteler, nous pouvons observer une continuité de ces réseaux obscurs dans notre problématique.

Depuis le 11 septembre, le gouvernement américain de Georges W. Bush a décrété le PATRIOT ACT, qui a renforcé les prérogatives des services de renseignement, a accru la surveillance de la population et a permis au gouvernement des États-Unis de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste (cours FISA). Dans le cadre de l’Alliance Atlantique de l’OTAN, cette loi a des ramifications jusqu’en Europe et probablement dans le monde étant donné la collaboration entre les services de renseignement. Ainsi des « centres de fusion » (anglais : fusion centers) ont été établis dans tous les états des USA pour récolter des informations sur les citoyens et améliorer leur circulation entre leurs départements de sécurité. L’ex-analyste de le NSA (renseignement national US) Karen Stewart affirme que ces centres sont utilisés pour espionner les civils physiquement à l’aide d’informateurs volontaires, d’où des délations et diffamations constantes et des fichages terroriste en hausse et un harcèlement organisé. Nous ne disposons pas d’informations pour les autres états de l’OTAN mais la présence de ces centres de fusion est fortement probable en dehors des USA.

L’un des éminents spécialistes de la question est Nicolas Desurmont, consultant en criminologie belge, il y a dédié une étude nommée « vers une problématique du harcèlement criminel en réseau » dans la revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique en 2006. Dans celle-ci, il documente la participation active des services de renseignement, de la police et des réseaux de crime organisé dans la persécution des cibles. Il affirme également qu’il existe une infiltration bi-directionnelle entre ces protagonistes. À ce moment, il affirmait que les victimes étaient sujettes à des « filatures », menaces et écoutes illégales. Mais le tableau actuel est plus alarmant encore.

Une part non négligeable de la population collabore avec ceux-ci, dans un article de 2002 dans le journal américain Sunday Morning Herald déclarait déjà que le gouvernement US envisageait de recruter 1 américain sur 24 comme espion, ce qui fait environ 4 % de la population. Les victimes du harcèlement criminel en réseau suggèrent qu’au moins de 10 % de la population collabore activement dont des membres importants de la police, de la santé, de l’administration et de la justice.

Les harcèlements organisés les factions du pouvoir au sein de l’État (selon les victimes dans le monde) autour de la cible consistent en des : violations de la vie privée la plus personnelle et la plus intime avec captures audio/vidéo (conversations, vie sentimentale et sexuelle, vie chez soi), négation du respect de l’être humain et de ses droits fondamentaux, perte de souveraineté/liberté/sécurité, piratages, cambriolages, sabotages de biens (voiture, …), menaces de mort, vandalismes, violations de domicile (sans effraction) avec déplacements et/ou petites dégradations inexplicables d’objets (sans vol grave) pour valider un faux diagnostic de « paranoïa ». Une traque peut s’instaurer, avec envahissements permanents de l’espace privé et public autour de la cible par des intervenants extérieurs et des agents contractuels de l’État (formant une « Boite Flottante Mobile » composée d’individus et de véhicules autour d’elle), en tenue à pied ou en véhicules banalisés, lui faisant du « théâtre de rue » avec des « conversations dirigées » contre elle, et consistant à répéter publiquement devant elle ses propres conversations privées ou ses actes qu’elle a fait seule (pour provoquer des réactions émotionnelles pour faux diagnostic de paranoïa). Font encore partie de l’arsenal : les dénis de service en tout genre, les refus d’assistance, les refus ou classements systématiques des plaintes, les accidents de la route provoqués, les internements abusifs, les campagnes de diffamation (fausses rumeurs dans le voisinage, le cercle familial et amical, au travail, sur Internet, dans les médias, …), les cyberharcèlements, les harcèlements administratifs, judiciaires, professionnels, téléphoniques, policiers, ou sonores (campagnes de bruit, faux travaux perpétuels chez des voisins stipendiés ou dans des rues près de chez soi, …), etc. Dans les cas le plus graves l’empoisonnement, le viol et le meurtre peuvent survenir.

La majeure partie de ces crimes sont documentés par le défunt Ted Gunderson et Geral Sosbee, tous deux anciens agents du FBI, en annexe, vous avez leur affidavit pour témoigner de cela.

Du fait que les grands employeurs sont fréquemment complices de ce harcèlement, les victimes peuvent subir du harcèlement professionnel, des licenciements, du non-emploi et peuvent ainsi se retrouver à la rue. Nous voyons donc une violence psychologique extrême pouvant induire des maladies psychiatriques et même pousser la victime au suicide.

Nous avons gardé cette partie pour la fin car malgré les divulgations récentes sur les armes électromagnétiques, cet aspect reste toujours difficilement compréhensible de par des années de décrédibilisation de la part des officiels occidentaux et dans l’imaginaire collectif.

En effet, si suite au scandale du syndrome de la Havane où des diplomates américains et canadiens ont été victimes d’un mal « mystérieux », les armes à énergie dirigée et à micro-ondes ont été rendus publiques, la population n’a qu’une infime connaissance de ses application dissimulées sur les civils depuis des décennies.

Ces armes sont étudiées par les grandes puissances essentiellement les USA et auparavant le bloc soviétique depuis les années 60 dans le contexte de recherches sur le contrôle mental MK-Ultra et du projet Pandora sur la recherche des effets biologiques et psychologiques des ondes électromagnétiques. Des victimes ainsi que le physicien Britannique Barrie Trower affirment que les effets des radiations électromagnétiques sur le corps humain ont été étudiés.

Durant la guerre froide, ces études, étaient fortement poussées, les USA et l’URSS ont été en compétition dans un domaine occulté qu’est la psychotronique dans le but de contrôler à distance la psyché des masses ou des individus mais également d’altérer leur physiologie à l’aide d’ondes électromagnétiques. Contrairement à la nomenclature occidentale, ce terme est d’usage dans le monde russe et même s’il n’est pas clair quant à qui menait la course, les deux puissances se sont inspirées mutuellement dans la mesure qu’elles pouvaient obtenir des informations des avancées de chacun. Une divulgation partielle des avancées russes a été réussie grâce à Serge Kernbach du centre de recherche avancé en robotique et sciences de Stuttgart en Allemagne qui s’est basé sur des publications des journaux techniques russes et des documents déclassifiés. Du côté soviétique, l’ancien général du KGB Georges Kotov a reconnu le potentiel dangereux de ces recherches et a appelé à un organe de contrôle bilatéral. Néanmoins après la fin de la guerre froide certains scientifiques russes comme le docteur Igor Smirnov ont rejoint les USA pour développer ce secteur. Le côté US comptait déjà son sur son projet Pandora comme cité plus haut et de nombreuses technologies de contrôle mental et physique à distance ont été élaborés qui sont aujourd’hui affûtés. Parmi ses scientifiques proéminent vient le Dr Delgado qui avoua que : « le plus grand danger de l’avenir est que nous ayons des êtres humains robotisés qui ne seront pas conscients d’avoir été robotisés ». Il avait réussi à contrôler à distance un taureau grâce à des électrodes et une télécommande à radiofréquences, il a affirmé que ces électrodes ne sont désormais plus nécessaires et le Dr Ross Adey, son contemporain, a réussi à déterminer les effets neuromodulateurs et hormonaux des ondes électromagnétiques ELF (ondes à fréquences extrêmement basses).

A notre insu, les armes électromagnétiques ont été disséminées dans les infrastructures de communication comme les satellites et les antennes relais et bien d’autres pour envoyer des faisceaux de micro-ondes et d’énergie dirigée ou envoyer une fréquence spécifique pour déclencher des effets physiologiques et psychologiques. Des criminels peuvent également disposer d’armes électromagnétiques portables. Dans les premières phases du programme d’application à large échelle, des puces implantées de manière non consentantes étaient indispensables mais depuis lors, les antennes relais disposent de radars pouvant cibler directement la victime (Cf. Barrie Trower) et la cadre de l’armée US Amy Holem affirme que les fréquences émises par le corps humain suffisent à verrouiller la cible (Vidéos en annexe). Le brevet déclassifiés US3,951,134A témoigne de la possibilité de faire de la « Télé-surveillance neuronale » et de lire dans les pensées en temps réel et sans électrodes à l’aide d’ondes électromagnétiques, il est également possible d’interférer avec l’esprit et de le manipuler avec ce procédé.

Le harcèlement électromagnétique survient souvent après l’isolation de la victime par élimination sociale ou diffamations à son encontre ou bien le devient suite aux pathologies infligées par les attaques. Beaucoup perdent leur emploi suite à cela enchaînant un cercle vicieux d’isolation et d’agressions.

Les symptômes les plus courants d’agression électromagnétique sont : fatigue chronique, insomnies, réveils nocturnes répétés, dysfonctionnements voire crises cardiaques, douleurs intenses (organes, muscles, os, …) assimilables à de la torture, migraines, acouphènes, vieillissement prématuré, nausées, troubles intestinaux, démangeaisons, brûlures (externes ou internes), rougeurs (muqueuses, peau, …), apnées du sommeil, pertes de mémoire et de concentration, manipulations de la libido (inhibitions ou excitations artificielles), inflammations musculaires/tissulaires, neuro-inflammations, productions en excès de radicaux libres et de stress oxydatifs, anomalies des globules rouges, spasmes, électrochocs, sensations de vibrations internes, sensations d’aiguilles enfoncées, problèmes visuels, épilepsies, hypoxies (cerveau, …), Alzheimer précoce, leucémies et cancers précoces, amnésies, troubles cognitifs, troubles de la coordination, mouvements involontaires/incontrôlés/automatiques des membres ou des organes internes, vertiges, déséquilibres en station debout, troubles immunitaires, allergies, infections virales, maladresses excessives, maladies chroniques, évanouissements, AVC, myocardites, thromboses, etc. Nous voyons donc la possibilité d’aller jusqu’à l’assassinat des victimes, ce qui pourrait expliquer les décès récents et prématurés de lanceurs d’alerte.

Parmi les symptômes psychologiques (psychotroniques), la victime peut percevoir des voix ou des sons oppressants que personne d’autre ne peut entendre (technologie Voice of God ou V2K, Voice to Skull), n° de brevet : US4,877,027A. Elle peut également souffrir de « pseudo-psychoses » induites, de cauchemars synthétiques induits et d’instabilité émotionnelle. Une série d’autres maladies psychiatriques peuvent être induites.

Conclusion

A la lueur, de ces informations, le phénomène occulté de Gang Stalking ne peut plus être discuté même si notre démonstration peut ébahir le lecteur de par sa gravité et son énormité. Des victimes s’en plaignent depuis plusieurs décennies et nous avons finalement accumulé suffisamment de témoignages de lanceurs d’alerte experts et de victimes pour faire éclater ce scandale au grand jour.

Nos sondages (sur un échantillon d’environ 60 personnes sur Telegram) montrent qu’environ 30 à 40 pourcents des internautes chercheurs de vérité ou activistes sont victimes de cette criminalité d’état que ce soit par l’un ou l’autre aspect ou les deux. Toujours selon ces sondages, le nombre de victimes a pratiquement doublé depuis le confinement de 2020.

A l’heure du déploiement de la 5G et bientôt plus encore, les dégâts seront considérables et il faut intervenir au plus vite. Des victimes affirment qu’après avoir reçu l’injection covid, leur symptômes d’agressions ont augmentés, nous avançons clairement dans un agenda transhumaniste de contrôle mental et de robotisation de la population. Tant que ce programme aura cours aucun mouvement populaire pour la justice ne pourra se réaliser, c’est d’ailleurs probablement son objectif principal.

Les victimes qui ont osé et osent toujours dénoncer ce crime devant la police ou autres se font presque systématiquement psychiatriser avec la collaboration consciente ou non de psychiatres qui ne connaissent pas ce phénomène ou qui sont corrompus et leur diagnostiquent outrageusement un « délire de persécution » pour les décrédibiliser en les étiquetant « schizophrènes ». Les autres souffrances causées seront également cataloguées comme psychologiques et seront niées ou rangées dans des pathologies fourre-tout comme « fibromyalgie », au mieux « électrosensibilité » ou « cénesthésies ». Nous voyons donc une collusion entre le monde psychiatrique et le gouvernement pour participer sciemment ou non à un génocide silencieux et continuer de masquer ce scandale et de l’invisibiliser. Nous prévoyons donc la survenue d’un « mal mystérieux » dont nous sommes actuellement les uniques personnes informées de sa cause ou d’une mystérieuse montée des troubles psychiatriques.

Il est donc vital de rendre ce phénomène public et exiger sa fin immédiate.

Özler ATALAY

Gladio — Wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gladio

Cointelpro – Wikipedia

Zersetzung – Wikipedia

https://en.wikipedia.org/wiki/Zersetzung

Fusion Centers, Citizen Spies & the Debasement of the American Character – The Washington Standard :

Nicolas DESURMONT, Vers une problématique du harcèlement criminel en réseau

http://classiques.uqac.ca/contemporains/desurmont_nicolas/vers_problematique_harcelement_reseau/vers_problematique_harcelement_reseau_texte.html

Affidavit de Ted Gunderson

Affidavit de Geral Sosbee

Revealed The Soviet Union’s $1 Billion ‘Psychotronic’ Arms Race with the US by The Physics archive Blog The Physics archive Blog Medium https://medium.com/the-physics-arxiv-blog/revealed-the-soviet-unions-1-billion-psychotronic-arms-race-with-the-us-1b0b3d97df54 
Two Years Ago — DARPA to Resurrect Top-Secret “PANDORA Project” Intel Today https://inteltoday.org/2019/02/22/two-years-ago-darpa-to-resurrect-top-secret-pandora-project/
Vidéo de la cadre de l’armée US Amy Holem https://odysee.com/@Feerika:d/Amy-Holem:e
Vidéo du physicien de la Royal Navy Barrie Trower https://crowdbunker.com/v/gqd5pJpLbJ
Vidéo de témoignage avec Yves Couvreur https://crowdbunker.com/v/zBDDxDKq2R

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