Vers une tyrannie futuriste gérée par l’intelligence artificielle ?

A l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leurs utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fin de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacité de ces I.A. à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. A ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.

Interface Cerveau-Machine

Lecture de la pensée et contrôle mental

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétiques, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique Américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (anglais Targeted individuals – T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrutent leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien Japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses, syndrome de la Tourette, mouvements incontrôlés…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaque, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et de l’I.A. pour la surveillance et la persécution h24 7j/7 des cibles (guerre de 5eme génération).

Nous voyons donc une interférence continue de l’I.A. avec l’esprit humain qui est certainement à l’origine de comportements actuels déviants comme une montée de la violence, des actes terroristes et false flags, injections aveugles de produits expérimentaux, des révolutions de couleur mais également des comportements de vote irrationnels et de l’apathie.

Dans cette vidéo, le journaliste Américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation – SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une I.A. qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un future proche en cas de catastrophes. La vidéo sous-titrée ci-bas explique sont fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé Français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voire article sur le harcèlement criminel en réseau- gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à un cerveau global (anglais : Global Brain) où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Sans surprise, cette I.A. ne se contentera pas de maîtriser l’humain mais également les machines. Si les plus conscients savent dorénavant que le réseau HAARP sert à des fins de guerre climatique en combinaison avec des satellites équipés d’armes à énergie dirigée pour causer incendies et dégâts matériels, peu savent que l’I.A. est actuellement aux commandes de ces dispositifs ainsi que des armes nucléaires, sismiques et certainement d’autres technologies dissimulées. Pour se faire des ordinateurs quantiques ont été mis au point pour une puissance de calcul optimale et menace actuellement de causer un maximum de dégâts si l’on essaie de la débrancher, il convient donc de nommer cette I.A « terroriste ».

Conclusion

A la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la schizophrénie, de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas de susciter la peur mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies et de l’intelligence artificielle. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limite, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseur de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentiels violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Veuillez partagez ces informations pour contre-attaquer les ennemis physiques et numériques de l’humanité et contrecarrer leurs plans.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste Citoyen et Individu Ciblé

(article mis à jour le 27/09/23)

Un avis sur « Vers une tyrannie futuriste gérée par l’intelligence artificielle ? »

Laisser un commentaire