Daniel Balavoine, Coluche et Claire Séverac ont-ils été éliminés par les réseaux GLADIO de l’OTAN?

« Dans le crime parfait, c’est la perfection elle-même
qui est le crime, comme dans la transparence du mal,
c’est la transparence elle-même qui est le mal. »
Jean Baudrillard

Bien tristement, il a été introduit dans la culture populaire que trop divulguer ou s’opposer aux pouvoirs en place peut mener à la mort, tellement les exemples se sont multipliés au cours des décennies. D’où un terrorisme invisible. quasi-intraçable.

Et là interviennent les héros investigateurs qui lèvent le voile du mal, parmi eux nous avons Daniele Ganser, historien Suisse qui dans son livre « les armées secrètes de l’OTAN » a documenté avec minutie le machiavélisme de cette organisation scélérate et terroriste qu’est l’OTAN.

Divulgué dans les années 90 en Italie par la presse, Daniele Ganser nous founit une description détaillée du fonctionnement des réseaux paramilitaires GLADIO à la source de false flags terroristes comme en 1989 à la gare de Bologne. Attribué aux communistes pour renforcer l’atlantisme aux yeux des citoyens, nous voyons un exemple précoce de l’utilisation du terrorisme pour exercer une stratégie de la tension.

Utilisant également un réseau de magistrats, politiciens et intellectuels  corrompus, nous avions déjà un tableau de ce qu’était l’état profond ou état réel comme j’aime l’appeler.

Les réseaux GLADIO sont le sommet de l’iceberg qui a permis de comprendre la nature fasciste des gouvernements dits « Occidentaux ». N’ayant rien à envier au Stasi de l’Allemagne de l’Est ou à la Gestapo Hitlérienne, nous sommes face à un état policier ultra-violent et une société de surveillance qui s’est accéléré après le 11 Septembre.

Comme l’a documenté Nicolas Desurmont, consultant en criminologie, la corruption policière est à la source d’harcèlements et de meurtres en tout genre. Alliés avec des psychiatres et procureurs corrompus, le meurtre chimique par neuroleptiques et le décrédibilisation par faux diagnostic de schizophrénie est actuellement dans les méthodes préférées pour éliminer les opposants. L’harcèlement et le meurtre par cybertorture (utilisation d’armes à énergie dirigée à ondes électromagnétiques) est un outil dernier cri pour y parvenir.

Venons en aux décès prématurés des personnalités au centre de notre article.

Daniel Balavoine est décédé dans un accident d’hélicoptère le 14 janvier 1986, au cours du rallye Paris-Dakar et devait dénoncer le lendemain le trafic d’armes en son sein au journal de 20h. Il voulait également constuire des puits en Afrique

Coluche qui comme feu Daniel Balavoine représentait une menace à François Mitterrand au point de vouloir présenter sa candidtaure a été renversé par un camion poids lourds, ayant braqué violemment alors que qu’il roulait à vitesse réduite (60 km/h selon l’expertise). Le témoignage de ses deux amis qui l’accompagnaient n’a pas été retenu par le juge qui était un franc-maçon notoire de Nice, preuve de la corruption et de l’influence de sociétés secrètes dans les affaires du monde.

Terminons cet article divulgatif avec la mort tragique de Claire Séverac, lanceuse d’alerte par excellence : sa mort est survenue suite à cancer digestif « fulgurant » au moment où elle donnait des conférences. Ayant eu la chance d’avoir pu dénoncer l’attaque mondiale contre notre santé et la manipulation climatique, l’état réel s’est vengé sur elle avec un empoisonnement fort potentiel ou une attaque par armes à énergie dirigée.

À la lueur de ces révélations, l’heure n’est plus à la peur mais à l’action, plus précisément dans la dénonciation publique des collaborateurs militaires, policiers ou civils de cette ignominie.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste indépendant