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Avant-propos de l’Ă©diteur : cet article divulgue les origines sionistes et pharisiennes pour ne plus dire juif du salafo-wahhabisme qui sont les deux faces d’une mĂȘme piĂšce. Je propose que l’on adopte cette terminologie pour le bien de beaucoup de victimes de cette idĂ©ologie masquĂ©e en religion qui mĂ©prise peut ĂȘtre les juifs plus que les autres nations. Le texte est repris tel quel de son auteur qui est parmi les mieux informĂ©s sur le sujet.
Vers la fin du dix huitiĂšme siĂšcle, au summum des conquĂȘtes coloniales, les impĂ©rialistes anglais ont créé deux forces destructrices apparemment antagonistes, le Sionisme dâun cĂŽtĂ©, le Wahhabisme ou Salafisme de lâautre. Ils appliquent en cela la devise : « diviser pour rĂ©gner ». Si les sionistes sont le glaive de lâimpĂ©rialisme, les islamistes en sont les supplĂ©tifs, les harkis. Le sionisme est une calamitĂ© extĂ©rieure imposĂ©e au monde arabe. Le wahhabisme, est une maladie dĂ©gĂ©nĂ©rative endogĂšne inoculĂ©e aux Arabes afin quâils sâattaquent dâabord Ă dâautres musulmans sunnites : les Turcs, et ensuite aux autres Arabes. Rached Ghannouchi ayant dĂ©clarĂ© que les Salafistes Ă©taient « ses fils », il est donc le pĂšre du Salafisme en Tunisie. Inutile alors de distinguer entre Salafisme, Wahhabisme ou Islamisme : câest la mĂȘme engeance.
Lâislamisme est Ă lâislam ce que le sionisme est au judaĂŻsme : une idĂ©ologie de conquĂȘte du pouvoir au nom de la religion et au dĂ©triment des peuples.
De la mĂȘme maniĂšre quâil ne faut pas confondre islam et islamisme, il ne faut pas non plus confondre judaĂŻsme et sionisme. Mais quand on se prĂ©tend ĂȘtre le protecteur des lieux saints de lâislam, comme la dynastie saoudienne, quand on finance et dirige des groupes islamistes, souvent terroristes, et quâon cache ses origines juives, câest quâon est, en rĂ©alitĂ©, un « sous-marin » sioniste. DâaprĂšs les documents historiques publiĂ©s rĂ©cemment, ce serait le cas du wahhabisme et de la dynastie saoudienne.
Rappel historique
En 1914 commence la PremiĂšre Guerre mondiale. Elle aura un impact dĂ©cisif sur le succĂšs du sionisme et du wahhabisme. Les Ottomans entrent en guerre aux cĂŽtĂ©s de lâAllemagne et de lâAutriche, face Ă la France, au Royaume-Uni, Ă lâItalie et Ă la Russie tsariste.Chacune de ces quatre puissances a des visĂ©es territoriales sur lâempire ottoman pour le dĂ©manteler et sâen partager les dĂ©pouilles.
DĂšs 1915, le leader sioniste britannique, HaĂŻm Weizmann, entreprend de convaincre la direction britannique de lâintĂ©rĂȘt pour elle de soutenir la cause sioniste. En 1916, les accords secrets Sykes-Picot entre la France et le Royaume-Uni divisent lâempire ottoman en cas de victoire, et accordent au Royaume-Uni les zones quâil convoite. En 1917, Lord Balfour, reprĂ©sentant le gouvernement britannique, adresse Ă Lord Lionel Walter Rothschild une lettre, la « dĂ©claration Balfour », par laquelle il indique que le Royaume-Uni est favorable Ă lâĂ©tablissement dâun « Foyer national juif » en Palestine.
Fayçal â Weizmann
Les Saoudiens acceptent la crĂ©ation dâIsraĂ«l
Ă lâoccasion de la confĂ©rence de paix de Paris de 1919, lâaccord Fayçal-Weizmann fut signĂ© le 3 janvier 1919 entre lâĂ©mir Faysal ibn Hussein (chĂ©rif de la Mecque et roi du Hedjaz) et HaĂŻm Weizmann (qui deviendra en 1949 le premier PrĂ©sident dâIsraĂ«l). Par cet accord, Fayçal ibn Hussein accepte, au nom des Arabes, les termes de la dĂ©claration Balfour . Cette dĂ©claration est considĂ©rĂ©e de facto une des premiĂšres Ă©tapes dans la crĂ©ation de lâĂtat dâIsraĂ«l.
En Mars 1919, lâĂmir Fayçal envoie le courrier suivant Ă FĂ©lix Frankfurter, juge amĂ©ricain, sioniste de choc, siĂ©geant Ă la Cour suprĂȘme des Ătats-Unis. « ⊠Le mouvement juif est national et non impĂ©rialiste et notre mouvement (le wahhabisme) Ă©galement est national et non impĂ©rialiste. Il y a en Palestine assez de place pour les deux peuples. Je crois que chacun des deux peuples a besoin du soutien de lâautre pour arriver Ă un vĂ©ritable succĂšs (âŠ). Jâenvisage avec confiance un avenir dans lequel nous nous aiderons mutuellement, afin que les pays auxquels nous portons chacun un vif intĂ©rĂȘt puissent Ă nouveau reprendre leur place au sein de la communautĂ© des nations civilisĂ©es du monde ». Cf RenĂ©e Neher-Bernheim, La dĂ©claration Balfour, Julliard 1969.
Plus rĂ©cemment, aprĂšs les accords de Camp David, lâArabie saoudite a Ă©tĂ© lâun des premiers pays arabes Ă avoir importĂ© des marchandises israĂ©liennes. Selon Al-Alam, lâArabie saoudite, en important dâIsraĂ«l des Ă©quipements nĂ©cessaires Ă lâextraction du pĂ©trole, ainsi que des piĂšces dĂ©tachĂ©es de machines agricoles, des fruits et des lĂ©gumes, est lâun des premier pays arabes Ă avoir nouĂ© des liens Ă©conomiques et commerciaux avec le rĂ©gime sioniste. Et comme le savent trĂšs bien les ouvriers de la compagnie «Aramco», qui est le principal exploitant de pĂ©trole saoudien, sur la plupart des piĂšces dĂ©tachĂ©es, quâutilise la compagnie, il est Ă©crit « Made in IsraĂ«l ».
Les services secrets irakiens révÚlent les origines juives des wahhabites et des saoudiens
Le DĂ©partement de la DĂ©fense des Ătats-Unis a publiĂ©, rĂ©cemment, des traductions de plusieurs documents de renseignement irakiens datant du rĂšgne de Saddam. Le rapport sâappuie sur ââles MĂ©moires de M. Hempher , qui dĂ©crivent en dĂ©tail comment cet espion britannique au Moyen-Orient, au milieu du XVIIIe siĂšcle, a pris contact avec Abdul Wahhab, pour crĂ©er une version subversive de lâIslam, la secte du wahhabisme, qui est devenue le culte fondateur du rĂ©gime saoudien. Ces « MĂ©moires de M. Hempher », ont Ă©tĂ© publiĂ©es sous forme dâĂ©pisodes dans le journal allemand Spiegel.
Parmi les vices que les britanniques devaient promouvoir chez les musulmans, Ă travers la secte wahhabite, figuraient le racisme et le nationalisme, lâalcool, le jeu, la luxure (vices quâon retrouvera chez les Ă©mirs actuels). Mais la stratĂ©gie la plus importante reposait sur « la propagation dâhĂ©rĂ©sies chez les croyants pour ensuite critiquer lâIslam comme Ă©tant une religion de terroristes. ». A cet effet, Hempher trouva en Mohammed Ibn Abdul Wahhab un individu particuliĂšrement rĂ©ceptif.
Le mouvement wahhabite a Ă©tĂ© temporairement dĂ©fait par les armĂ©es Ottomanes au milieu du XIXe siĂšcle. Mais avec lâaide des Britanniques, les wahhabites saoudiens sont de retour au pouvoir en 1932. Depuis lors, les Saoudiens ont collaborĂ© Ă©troitement avec les AmĂ©ricains, Ă qui ils doivent leur richesse pĂ©troliĂšre considĂ©rable, dans le financement de diverses organisations islamiques fondamentalistes amĂ©ricaines et arabes. SimultanĂ©ment, les Saoudiens vont utiliser leur immense richesse pour diffuser cette vision dĂ©viante et perturbatrice de lâIslam dans diverses parties du monde. Cette opĂ©ration de propagande est considĂ©rĂ©e par les spĂ©cialistes comme Ă©tant la plus grande campagne de propagande dans lâhistoire. Ces sectes wahhabites, allant des salafistes tunisiens aux talibans afghans, sĂšment terreur et horreur dans le monde islamique, et salissent lâIslam par leur comportement et par les fatwas scĂ©lĂ©rates quâils Ă©mettent.
Par ailleurs, un Ă©crivain cĂ©lĂšbre, amiral de la marine ottomane, qui a servi dans la pĂ©ninsule arabique, Ayoub Sabri Pacha, a Ă©crit sa version de lâhistoire, telle quâil la vĂ©cue, en 1888. Parmi ses livres, « le dĂ©but et la propagation du wahhabisme » raconte lâassociation entre Abdul Wahhab et lâespion britannique Hempher en vue de comploter ensemble contre lâĂtat turc ottoman afin de le dĂ©pecer au profit des Britanniques et de la secte wahhabite. Le fait que lâespion britannique Hempher ait Ă©tĂ© responsable du façonnement des prĂ©ceptes extrĂȘmes du Wahhabisme est mentionnĂ© aussi dans « Mirâat al-Haramain » un ouvrage du mĂȘme Ayoub Sabri Pacha entre 1933-1938.
Abdul Wahhab fut lâinstrument par lequel les britanniques parvinrent Ă insinuer cette vile idĂ©e parmi les musulmans de la pĂ©ninsule arabique : il est licite de tuer dâautres musulmans, sous prĂ©texte dâapostasie, il suffit de sortir une fatwa Ă cet effet. En fonction de cela, Wahhab dĂ©fendait lâidĂ©e selon laquelle leurs frĂšres musulmans Turcs, en offrant des priĂšres aux saints, avaient trahis leur foi et quâil Ă©tait donc permis de les tuer, et de prendre pour esclaves leurs femmes et leurs enfants.
Les Wahhabites dĂ©truisirent aussi toutes les tombes sacrĂ©es et les cimetiĂšres, y compris Ă la Mecque et Ă MĂ©dine. Ils volĂšrent les trĂ©sors du ProphĂšte, qui comprenaient des livres sacrĂ©s, des Ćuvres dâart et dâinnombrables prĂ©sents envoyĂ©s aux villes saintes au cours du millier dâannĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Le cuir reliant les livres islamiques sacrĂ©s quâils avaient dĂ©truit fut utilisĂ© pour faire des sandales Ă lâusage des criminels wahhabites.
En plus de rĂ©vĂ©ler le contenu des MĂ©moires de Hempher, le rapport du renseignement irakien rapporte des rĂ©vĂ©lations inĂ©dites, comme les origines juives Ă la fois dâAbdel Wahhab et de la famille Saoud.
Les origines juives dâAbdel Wahhab
Un autre Ă©crivain, D. Mustafa Turan a Ă©crit dans « Les Juifs Donmeh », que Muhammad ibn Abdul Wahhab Ă©tait un descendant dâune famille de Juifs Donmeh de Turquie. Les Donmeh Ă©taient les descendants des disciples du tristement cĂ©lĂšbre faux-messie du judaĂŻsme, ShabbataĂŻ Zevi, qui a choquĂ© le monde juif en 1666 en se convertissant Ă lâislam. ConsidĂ©rĂ© comme un mystĂšre sacrĂ©, les adeptes de Zevi ont imitĂ© sa conversion Ă lâislam, bien que secrĂštement, ils soient restĂ©s juifs, avec leurs doctrines kabbalistiques. Turan soutient que le grand-pĂšre dâAbdul Wahhab, Sulayman Ă©tait en fait Shulman, ayant appartenu Ă la communautĂ© juive de Bursa en Turquie. De lĂ , il sâest installĂ© Ă Damas, oĂč il a feint dâĂȘtre musulman, mais il a apparemment Ă©tĂ© expulsĂ© pour pratique de la sorcellerie kabbalistique. Il sâest alors enfui en Ăgypte et il a de nouveau Ă faire face Ă une autre condamnation. Il a alors Ă©migrĂ© au Hedjaz, oĂč il sâest mariĂ© et a eu son fils : Abdul Wahhab. Selon le rapport irakien, la mĂȘme ascendance est confirmĂ©e dans un autre document intitulĂ© « Les Juifs Donmeh et lâorigine des wahhabites en Arabie », Ă©crit par Rifaat Salim Kabar.
Les origines juives de la dynastie saoudienne
Le fait que la famille saoudienne soit dâorigine juive a Ă©tĂ© publiĂ© par un saoudien, Mohammad Sakher , qui a Ă©tĂ© ensuite liquidĂ© par le rĂ©gime saoudien pour avoir osĂ© publier ses rĂ©vĂ©lations.
Par ailleurs, le rapport irakien fait rĂ©fĂ©rence Ă un compte-rendu similaire aux rĂ©vĂ©lations de Mohammed Sakher, mais il cite des sources diffĂ©rentes. Selon « Le Mouvement wahhabite / La VĂ©ritĂ© et Racines », par Ibrahim Abdul Wahhab Al-Shammari, ibn Saoud est rĂ©ellement descendu de Mordechai Ben Ibrahim bin Mushi, un marchand juif de Bassorah. Celui-ci a frĂ©quentĂ© des membres de la tribu arabe de Aniza, puis il a voyagĂ© avec eux dans le Najd, puis a prĂ©tendu ĂȘtre un membre de cette tribu. Il a alors changĂ© son nom en Markhan bin Ibrahim bin Musa. Or, selon al SaĂŻd Nasir, ambassadeur dâArabie Saoudite au Caire, dans «lâhistoire de la famille Saoud», Abdullah bin Ibrahim al Mufaddal a payĂ© Muhammad Al-Tamimi 35000 jouneyh (Livres) en 1943, pour inventer deux arbres gĂ©nĂ©alogiques (1) de la famille saoudienne et (2) dâAbdul Wahhab, et de les fusionner ensuite en un seul arbre remontant au prophĂšte Mahomet. En 1960, la station « Sawt El Arabe » Ă©mettant du Caire, en Ăgypte et la station de radiodiffusion de Sanaa, au YĂ©men, ont confirmĂ© les origines juives de la famille saoudienne.
Enfin, le 17 septembre 1969, le roi Fayçal Al-SAOUD dĂ©clare au Washington Post : « Nous, la famille saoudienne, sommes cousins des Juifs: nous ne sommes absolument pas dâaccord avec toute AutoritĂ© arabe ou musulmane qui montrerait un antagonisme quelconque envers les Juifs, mais nous devons vivre avec eux en paix. Notre pays (Arabie) est la premiĂšre Fontaine, dâoĂč sortit le premier Juif pour que ses descendants se rĂ©partissent dans le monde entier. »
Autres exemples rĂ©cents1 ) Le hĂ©ros du film anti-islam est Mossaab, le fils de Hassan Youssef, un dirigeant Ă©minent du HamasLe parti Ă©gyptien de la LibĂ©ration a affirmĂ© que le hĂ©ros du film blasphĂ©matoire contre le ProphĂšte, Ă lui bĂ©nĂ©diction et salut, Ă©tait Mossaab, le fils dâun dirigeant Ă©minent du Hamas, Hassan Youssef.Deux ans plus tĂŽt, Mossaab Ă©tait un agent du Mossad et Ă©tait Ă lâorigine de lâassassinat et de lâarrestation de cadres dirigeants des factions, dont El-Rantissi, Yassine, Marwane El-Barghouthi, Ă©crit le parti sur son site internet. Quand Mossaab sâest converti vers la chrĂ©tientĂ©, le Hamas ne lui a appliquĂ© ni le chĂątiment de la haute trahison ni celui de lâapostasie. Le mouvement lâa laissĂ© immigrer vers les Etats-Unis et son frĂšre a refusĂ© de le condamner. Mossaab avait rĂ©vĂ©lĂ© les secrets de son pĂšre et du mouvement dans un livre intitulĂ© « Le fils du Hamas ».
Mossaab sâĂ©tait rendu Ă El-Qods, quelques mois plus tĂŽt, pour participer au film. Selon WikipĂ©dia, Mossaab ibn Hassan ibn Youssef ibn Khalil, nommĂ© Joseph, Ă©tait un grand collaborateur du Shabak. Il a rĂ©ussi a empĂȘcher lâassassinat de grandes personnalitĂ©s israĂ©liennes.
2) Rached Ghannouchi et le lobby sioniste
La visite du leader du parti islamiste Ă Washington Ă©tait organisĂ©e par le WINEP (Washington Institute for Near East Policy), un think thank dĂ©pendant dâAIPAC (The American Israel Public Affairs Committee : principal groupe de pression US Ćuvrant pour la dĂ©fense des intĂ©rĂȘts dâIsraĂ«l). Rappelons que les deux grands piliers qui soutiennent les sionistes aux USA sont AIPAC et WINEP. Sur le site du groupe WINEP, le sujet de la visite de Rached Ghannouchi a Ă©tĂ© publiĂ© sous format PDF. Mais, ce qui paraĂźt louche, il a Ă©tĂ© retirĂ© 24 heures aprĂšs sa mise en ligne.
Lors de la cĂ©rĂ©monie organisĂ©e par le magazine Foreign Policy, R. Ghannouchi a reçu la distinction de lâun des plus grands intellectuels de lâannĂ©e 2011 dĂ©cernĂ©e par ce prestigieux mĂ©dia amĂ©ricain. Il est Ă noter que parmi ces 100 plus « grands intellectuels » dont fait partie Rached Ghannouchi on retrouve les sinistres Dick Cheney, Condoleezza Rice, Hillary Clinton, Robert Gates, John McCain, Nicolas Sarkozy, Tayeb Erdogan et le sioniste de choc, Bernard Henri LĂ©vy, plus une longue liste de valets « arabo-musulmans ». Ainsi Ghannouchi se trouve dans le mĂȘme sac que les assassins de millions dâIrakiens, de Palestiniens, de Libyens, dâAfghans, et dâautres encore.
Devant un parterre composĂ© de journalistes, de politiciens et dĂ©cideurs, qui, dans leur majoritĂ©, sont plus soucieux des intĂ©rĂȘts dâIsraĂ«l que de ceux des Etats-Unis, et encore moins de ceux des Arabes, Rached Ghannouchi a exposĂ© sa vision du futur et du rĂŽle jouĂ© par les FrĂšres Musulmans en Tunisie, en Afrique du Nord, dans le monde arabe et de leur collaboration avec les Etats-Unis. Non content de montrer son allĂ©geance et sa soumission au gouvernement amĂ©ricain, Rached Ghannouchi a tenu Ă rassurer le lobby sioniste quant Ă lâarticle que lui-mĂȘme avait proposĂ© dâinclure dans la constitution tunisienne concernant le refus du gouvernement tunisien de collaborer avec IsraĂ«l. Il ne sera jamais inscrit dans la Constitution tunisienne que la Tunisie nâĂ©tablira jamais de relations de quelque nature que ce soit avec lâentitĂ© sioniste. Son passage au WINEP nâa pas Ă©tĂ© quâun moment de plaisir. Croyant jouer au plus malin, notre Iznogoud national-islamiste sâest fait Ă©pingler avec vidĂ©o Ă lâappui quand il a niĂ© avoir traitĂ© les Etats-Unis de « Grand Satan » en 1989. La honte pour ce gros mensonge dâun supposĂ© grand intellectuel arabe. Avec un minimum de fiertĂ©, nâimporte qui dâautre aurait renoncĂ© Ă la dite distinction. Pas lui. On est bien prĂšs de mĂ©priser ce quâon trouve ridicule.
Hannibal GensĂ©ric – IngĂ©nieur informaticien et MathĂ©maticien
Un avis sur « Origines de la connivence wahhabisme-sionisme »